Discours de la Présidente
Une nouvelle année vient de s’écouler et notre association est toujours aussi active pour se faire entendre auprès des autorités locale et nationale, par courrier, email, téléphone et bien entendu prise de rendez-vous.
A l’heure de l’avènement du développement durable et de la protection du patrimoine « vert » de notre écosystème, nos revendications nous apparaissent comme des plus légitimes pour affirmer : « Nous ne baisserons pas les bras » et ainsi continuer notre action afin d’agir en « être responsable ».
Face à la dégradation de plus en plus rapide de la biodiversité de notre planète et du cadre de vie de ses habitants, les associations de protection de l’environnement sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses notamment en France pour défendre les intérêts, non seulement de leurs adhérents, mais surtout des générations à venir.
Rien que dans les Alpes-Maritimes pour l’année dernière nous avons constaté :
- La fermeture de la décharge de Villeneuve Loubet sous la pression des riverains,
- La non-réalisation du projet Ikea,
- La réalisation du 2ème collège de Vence, dans le quartier de la FERRAGE, que refuse l’association NOSSIF,
- Le Centre Educatif de Cagnes sur Mer, une association a annoncé que l’affaire se terminerait au tribunal car les riverains refusent cette installation,
- La cimenterie Vicat dans la Vallée du Paillon qui connait une opposition à l'autorisation de brûlage annuel de 105 000 tonnes de déchets composés de boues de stations d'épuration, encombrants et mâchefer (résidus de station d'incinération), pour faire tourner les fours de la cimenterie,
- Après des semaines de polémique et la montée en puissance d’un front de refus, mené par le maire de La Roquette, les élus des 12 communes du Sivades (1) ont balayé d'un revers de main l'achat programmé des terrains roquettans où il était projeté la construction d’un incinérateur et d’un centre de compostage d’ordures ménagères.
D’autres régions de France, connaissent des faits similaires, en Bretagne avec les problèmes de porcheries nuisibles à l’environnement qui pourtant ne jouxtent pas de lotissements.
L’incinérateur de Fos sur Mer est défendu par l’Association de Défense et de Protection du Littoral du Golfe de Fos qui n’a pas hésité à mettre le dossier au tribunal.
Après avoir obtenu gain de cause dans l’épisode du Circuit de Flins, l’association « Agir pour l’Environnement » exprime sa très grande satisfaction de voir, un à un, les projets climaticides annulés sous la pression des riverains et des associations de protection de l’environnement. Ainsi, avec le circuit de Formule 1 de Flins, la mine de charbon dans la Nièvre, c’est maintenant au tour du « Grand contournement Ouest » de Strasbourg d’être sur la sellette. Pour l’association « Agir pour l’Environnement » : « la raison écologique semble progressivement l’emporter sur l’idéologie productiviste imposée par le néocapitalisme libéral ou libertarianisme».
D’autres problèmes graves relevant de l’environnement ont été relatés par les médias auprès des français, par exemple :
- A Carling en Moselle avec l’épisode de l’usine GPN du Groupe Total de Grandpuits en Seine et Marne où 300 personnes, après une fuite d’ammoniac, ont du être placées en zone de repli,
- Ou encore lors de l’incident concernant l’usine TREDI de Salaine sur Sanne, etc.
Une nouvelle année vient de s’écouler et notre association est toujours aussi active pour se faire entendre auprès des autorités locale et nationale, par courrier, email, téléphone et bien entendu prise de rendez-vous.
A l’heure de l’avènement du développement durable et de la protection du patrimoine « vert » de notre écosystème, nos revendications nous apparaissent comme des plus légitimes pour affirmer : « Nous ne baisserons pas les bras » et ainsi continuer notre action afin d’agir en « être responsable ».
Face à la dégradation de plus en plus rapide de la biodiversité de notre planète et du cadre de vie de ses habitants, les associations de protection de l’environnement sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses notamment en France pour défendre les intérêts, non seulement de leurs adhérents, mais surtout des générations à venir.
Rien que dans les Alpes-Maritimes pour l’année dernière nous avons constaté :
- La fermeture de la décharge de Villeneuve Loubet sous la pression des riverains,
- La non-réalisation du projet Ikea,
- La réalisation du 2ème collège de Vence, dans le quartier de la FERRAGE, que refuse l’association NOSSIF,
- Le Centre Educatif de Cagnes sur Mer, une association a annoncé que l’affaire se terminerait au tribunal car les riverains refusent cette installation,
- La cimenterie Vicat dans la Vallée du Paillon qui connait une opposition à l'autorisation de brûlage annuel de 105 000 tonnes de déchets composés de boues de stations d'épuration, encombrants et mâchefer (résidus de station d'incinération), pour faire tourner les fours de la cimenterie,
- Après des semaines de polémique et la montée en puissance d’un front de refus, mené par le maire de La Roquette, les élus des 12 communes du Sivades (1) ont balayé d'un revers de main l'achat programmé des terrains roquettans où il était projeté la construction d’un incinérateur et d’un centre de compostage d’ordures ménagères.
D’autres régions de France, connaissent des faits similaires, en Bretagne avec les problèmes de porcheries nuisibles à l’environnement qui pourtant ne jouxtent pas de lotissements.
L’incinérateur de Fos sur Mer est défendu par l’Association de Défense et de Protection du Littoral du Golfe de Fos qui n’a pas hésité à mettre le dossier au tribunal.
Après avoir obtenu gain de cause dans l’épisode du Circuit de Flins, l’association « Agir pour l’Environnement » exprime sa très grande satisfaction de voir, un à un, les projets climaticides annulés sous la pression des riverains et des associations de protection de l’environnement. Ainsi, avec le circuit de Formule 1 de Flins, la mine de charbon dans la Nièvre, c’est maintenant au tour du « Grand contournement Ouest » de Strasbourg d’être sur la sellette. Pour l’association « Agir pour l’Environnement » : « la raison écologique semble progressivement l’emporter sur l’idéologie productiviste imposée par le néocapitalisme libéral ou libertarianisme».
D’autres problèmes graves relevant de l’environnement ont été relatés par les médias auprès des français, par exemple :
- A Carling en Moselle avec l’épisode de l’usine GPN du Groupe Total de Grandpuits en Seine et Marne où 300 personnes, après une fuite d’ammoniac, ont du être placées en zone de repli,
- Ou encore lors de l’incident concernant l’usine TREDI de Salaine sur Sanne, etc.
Tous ces malheureux faits divers, justifient l’existence d’associations, telle que la notre, pour défendre l’habitat et l’environnement. Afin d’éviter de réagir lorsqu’il est déjà trop tard, nous souhaitons sincèrement que nos élus prennent conscience du danger avant que les accidents arrivent et que de procédures couteuses soient engagées, témoignant au passage d’une certaine inaction et d’irresponsabilité.
En ce qui nous concerne, dans l’affaire MALONGO, et comme nous l’ont confirmés de nombreux chefs d’entreprises de PME/PMI du département, il est totalement absurde de vouloir transférer l’usine de torréfaction (avec ses différentes unités de production) de la Zone industrielle de Carros sur un site haut perché bordé par la forêt, situé à proximité de maisons préexistantes (dont la première serait à moins de 120 m), sous les fenêtres de la prestigieuse institution IBM, à proximité immédiate du centre de réadaptation fonctionnelle géré par la CRAM et dans un très proche environnement des terrains où les jeunes de La Gaude et St Jeannet viennent pratiquer des activités sportives.
Comme nous l’a appris Nice Matin, la Zone industrielle de CARROS connait une réhabilitation et une extension pour un cout global de 10 millions d’euros. Cela permettra d’offrir aux 400 entreprises et aux 8000 salariés de bénéficier d’une offre élargie de services, tels que un immense restaurant d’entreprises, d’un service de conciergerie d’entreprise, de salles de formation ainsi que de nombreux services pour les salariés de la zone.
Comment les dirigeants de la société MALONGO pourraient-ils ignorer les dangers encourus par les tiers et l’environnement, lorsque par exemple :
- d’importantes quantités de gaz sont nécessaires à l’activité de torréfaction,
- un nombre certain de particules (pollution insidieuse) seront rejetées dans l’air,
- les odeurs et les bruits qu’il faudra supporter,
- la circulation de nombreux camions de livraison et d’approvisionnement nécessaires à la production qui emprunteront des routes sinueuses inadaptées, augmentant de ce fait les risques d’accidents et d’incendies.
Au niveau de la commune et du département, il est tout simplement incroyable qu’un tel projet ait pu être envisagé sur une commune de plus de 6000 habitants et comptant plus de 95% de zones boisées sur son territoire.
Enfin, lorsque les prix de l’essence et du gasoil ne cessent d’augmenter, que l’on parle de réduire la pollution et le taux d’émission de CO2 par la taxe Carbone, que la dangerosité, la durée et la longueur des trajets liées au transport des matières premières et produits finis seront bien supérieures en partant de La Gaude par rapport à Carros, on peut s’interroger sur les motivations réelles des dirigeants de Malongo de vouloir augmenter le budget « transport ».
Sur le plan juridique, notre appel associé à ceux des particuliers contre la mairie de La Gaude pour avoir délivré le permis de construire le 26 octobre 2007 est toujours en attente auprès de la Cour d’appel du tribunal administratif à Marseille. Nous espérons que ce recours sera étudié avec sagesse et toute l’impartialité que l’on est en droit d’exiger.
Sur le plan politique, notre principal interlocuteur est maintenant Monsieur Nicolas SARKOZY, Président de la République, qui a toujours pris le temps de répondre à l’ensemble de nos courriers en demandant à plusieurs ministères, notamment l’Industrie (Monsieur Christian ESTROSI), l’Environnement (Monsieur Jean-Louis BORLOO) et le Ministère de l’Intérieur (Monsieur Brice HORTEFEUX), d’étudier avec soin ce dossier. Aujourd’hui, encore nous sommes en correspondance directe avec l’Elysée (le dernier courrier datant du 3 février dernier).
L’union et le « courage du bon sens » faisant notre force, nous sommes restés motivés malgré les intimidations. Lors de ces discours, le directeur général de Malongo parle d’une « poignée d’irréductibles », mais quelle poignée !
Notre combat nous a amené fort logiquement à étudier la réalisation d’usines de torréfactions en France et à l’étranger. Depuis ces dernières années, pour éviter toutes nuisances, procédures et respecter un développement durable, les sociétés et municipalités ont préféré implanter les sites de production industrielle à risque en dehors des agglomérations. Alors pourquoi n’en serait-il pas de même sur la commune de La gaude ?
Pour ces raisons, nous avons décidé de prendre contact avec de nombreuses associations de protection de l’environnement afin d’augmenter notre impact et nos connaissances pour adopter, dans un tel dossier, suivants les circonstances, l’attitude adéquate.
L’épisode ou plutôt le long métrage « OIN » (Opération d’Intérêt National) ne fait que rajouter de l’eau à notre moulin.
En effet, le nom évocateur d’EcoVallée devrait parler de lui-même. Depuis peu, notre belle vallée du Var bénéficie de l’attention de l’Etat, sous l’impulsion du Maire de Nice et Ministre de l’Industrie, Monsieur Christian Estrosi.
L’OIN s’étendra du delta du Var au Bec de L’Estéron. Elle reçoit le nom d’EcoVallée, sans doute pour mieux la situer dans sa vocation futuriste.
L’Ecovallée déborde largement des rives du Var puisque La Gaude, ST Jeannet , La Roquette sur Var et une bonne douzaine d’autres villages environnants sont plus ou moins inclus dans son périmètre. Les terrains achetés par Malongo sur le site de la ZAC IBM de La Gaude sont concernés.
En tout, près de 10.000 ha - grosso modo environ un rectangle de 6 kilomètres sur 14 - vont connaître une transformation radicale. Seuls 450 ha sont touchés par les constructions, mais plus de 2600 ha par les aménagements des bords du fleuve.
Les élus et la population n’ont pas encore eu le temps de mesurer les conséquences positives et négatives importantes sur l’emploi, l’activité économique, le transport, le tourisme, l’éducation et la recherche.
Sur le plan de la biodiversité, le fleuve est désormais inscrit, de l’embouchure à la confluence avec la Vésubie, dans le dispositif européen de protection Natura 2 000. Ce sanctuaire pour les oiseaux sera géré par le Conseil Général, dirigé par Monsieur Eric Ciotti, qui compte installer sur les berges : des panneaux d’interprétation, des postes d’observation et des pistes cyclables.
Pour votre information, La basse vallée du Var est classée « Zone d’Intérêt Communautaire pour les Oiseaux, ZICO ».
En ce qui nous concerne, dans l’affaire MALONGO, et comme nous l’ont confirmés de nombreux chefs d’entreprises de PME/PMI du département, il est totalement absurde de vouloir transférer l’usine de torréfaction (avec ses différentes unités de production) de la Zone industrielle de Carros sur un site haut perché bordé par la forêt, situé à proximité de maisons préexistantes (dont la première serait à moins de 120 m), sous les fenêtres de la prestigieuse institution IBM, à proximité immédiate du centre de réadaptation fonctionnelle géré par la CRAM et dans un très proche environnement des terrains où les jeunes de La Gaude et St Jeannet viennent pratiquer des activités sportives.
Comme nous l’a appris Nice Matin, la Zone industrielle de CARROS connait une réhabilitation et une extension pour un cout global de 10 millions d’euros. Cela permettra d’offrir aux 400 entreprises et aux 8000 salariés de bénéficier d’une offre élargie de services, tels que un immense restaurant d’entreprises, d’un service de conciergerie d’entreprise, de salles de formation ainsi que de nombreux services pour les salariés de la zone.
Comment les dirigeants de la société MALONGO pourraient-ils ignorer les dangers encourus par les tiers et l’environnement, lorsque par exemple :
- d’importantes quantités de gaz sont nécessaires à l’activité de torréfaction,
- un nombre certain de particules (pollution insidieuse) seront rejetées dans l’air,
- les odeurs et les bruits qu’il faudra supporter,
- la circulation de nombreux camions de livraison et d’approvisionnement nécessaires à la production qui emprunteront des routes sinueuses inadaptées, augmentant de ce fait les risques d’accidents et d’incendies.
Au niveau de la commune et du département, il est tout simplement incroyable qu’un tel projet ait pu être envisagé sur une commune de plus de 6000 habitants et comptant plus de 95% de zones boisées sur son territoire.
Enfin, lorsque les prix de l’essence et du gasoil ne cessent d’augmenter, que l’on parle de réduire la pollution et le taux d’émission de CO2 par la taxe Carbone, que la dangerosité, la durée et la longueur des trajets liées au transport des matières premières et produits finis seront bien supérieures en partant de La Gaude par rapport à Carros, on peut s’interroger sur les motivations réelles des dirigeants de Malongo de vouloir augmenter le budget « transport ».
Sur le plan juridique, notre appel associé à ceux des particuliers contre la mairie de La Gaude pour avoir délivré le permis de construire le 26 octobre 2007 est toujours en attente auprès de la Cour d’appel du tribunal administratif à Marseille. Nous espérons que ce recours sera étudié avec sagesse et toute l’impartialité que l’on est en droit d’exiger.
Sur le plan politique, notre principal interlocuteur est maintenant Monsieur Nicolas SARKOZY, Président de la République, qui a toujours pris le temps de répondre à l’ensemble de nos courriers en demandant à plusieurs ministères, notamment l’Industrie (Monsieur Christian ESTROSI), l’Environnement (Monsieur Jean-Louis BORLOO) et le Ministère de l’Intérieur (Monsieur Brice HORTEFEUX), d’étudier avec soin ce dossier. Aujourd’hui, encore nous sommes en correspondance directe avec l’Elysée (le dernier courrier datant du 3 février dernier).
L’union et le « courage du bon sens » faisant notre force, nous sommes restés motivés malgré les intimidations. Lors de ces discours, le directeur général de Malongo parle d’une « poignée d’irréductibles », mais quelle poignée !
Notre combat nous a amené fort logiquement à étudier la réalisation d’usines de torréfactions en France et à l’étranger. Depuis ces dernières années, pour éviter toutes nuisances, procédures et respecter un développement durable, les sociétés et municipalités ont préféré implanter les sites de production industrielle à risque en dehors des agglomérations. Alors pourquoi n’en serait-il pas de même sur la commune de La gaude ?
Pour ces raisons, nous avons décidé de prendre contact avec de nombreuses associations de protection de l’environnement afin d’augmenter notre impact et nos connaissances pour adopter, dans un tel dossier, suivants les circonstances, l’attitude adéquate.
L’épisode ou plutôt le long métrage « OIN » (Opération d’Intérêt National) ne fait que rajouter de l’eau à notre moulin.
En effet, le nom évocateur d’EcoVallée devrait parler de lui-même. Depuis peu, notre belle vallée du Var bénéficie de l’attention de l’Etat, sous l’impulsion du Maire de Nice et Ministre de l’Industrie, Monsieur Christian Estrosi.
L’OIN s’étendra du delta du Var au Bec de L’Estéron. Elle reçoit le nom d’EcoVallée, sans doute pour mieux la situer dans sa vocation futuriste.
L’Ecovallée déborde largement des rives du Var puisque La Gaude, ST Jeannet , La Roquette sur Var et une bonne douzaine d’autres villages environnants sont plus ou moins inclus dans son périmètre. Les terrains achetés par Malongo sur le site de la ZAC IBM de La Gaude sont concernés.
En tout, près de 10.000 ha - grosso modo environ un rectangle de 6 kilomètres sur 14 - vont connaître une transformation radicale. Seuls 450 ha sont touchés par les constructions, mais plus de 2600 ha par les aménagements des bords du fleuve.
Les élus et la population n’ont pas encore eu le temps de mesurer les conséquences positives et négatives importantes sur l’emploi, l’activité économique, le transport, le tourisme, l’éducation et la recherche.
Sur le plan de la biodiversité, le fleuve est désormais inscrit, de l’embouchure à la confluence avec la Vésubie, dans le dispositif européen de protection Natura 2 000. Ce sanctuaire pour les oiseaux sera géré par le Conseil Général, dirigé par Monsieur Eric Ciotti, qui compte installer sur les berges : des panneaux d’interprétation, des postes d’observation et des pistes cyclables.
Pour votre information, La basse vallée du Var est classée « Zone d’Intérêt Communautaire pour les Oiseaux, ZICO ».
En ce qui concerne le développement économique de la zone qui nous intéresse, dès septembre 2010, selon les mots prononcés lors des vœux de nouvelle année par le Maire de la Gaude à la Coupole, il est prévu l’arrivée de l’Ecole d’infirmières du CHU de Nice. D’autres projets liés à l’enseignement et au médical pourraient suivre.
Nous espérons très sincèrement voir la réalisation de tels projets ou projets similaires afin de profiter pleinement des atouts du Moyen pays, développer l’économie de manière pérenne pour l’ensemble des habitants et commerçants de cette région, sans pour autant nuire à notre environnement.
Il s’agit simplement de faire ce que l’on dit : « du développement durable ». Notre union est notre force, je vous remercie pour votre fidélité pour ce combat que nous menons depuis cinq ans déjà. Nous avons toujours besoin de vous. Merci.